Le 16/01/20. La montée du Piton Argamasse et de Caille depuis le Nez de Boeuf.

Ce matin Ludo et moi nous sommes levés vers 5h avec l'intention de faire une boucle de 11km et 4h15 de marche. Nous pensions que nous allions avoir la même météo que lundi pour le Piton de La Fournaise.

Quand nous sommes arrivés à l'aire de pique-nique du Nez de Boeuf, le soleil était pourtant au RV mais pas trop sur les remparts. 

Nous avons décidé de nous diriger vers le soleil et donc de commencer par la petite ascension du Nez de Bœuf.

 

 

 

 

 

 

 

Le Nez de Boeuf

 

 

 

Situé sur la frontière communale entre Le Tampon à l'est et Saint-Joseph à l'ouest, il culmine à 2 136 mètres d'altitude le long du rempart occidental qui place la plaine des Cafres en surplomb de la vallée encaissée de la rivière des Remparts, un fleuve du massif du Piton de la Fournaise s'écoulant depuis le nord jusqu'au centre-ville de Saint-Joseph, sur la côte. Il est situé sur une frontière du parc national de La Réunion. On l'atteint par la route forestière du Volcan, qui le longe en montant de Bourg-Murat jusqu'au col de montagne appelé pas des Sables. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fois en haut au bout d'à peine 20mn de marche, nous sommes redescendus par le même chemin et avons poursuivi la randonnée. Mais le temps se gâtait déjà. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons dû arrêter la rando car il s'est mis à pleuvoir.

Alors nous avons rejoint la route pour rentrer le plus vite au parking.

 

 

 

 

A Suivre une randonnée au Cap Noir et Roche Verre Bouteille (Cirque de Mafate)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après plus d'1h de marche nous avons commencé l'ascension du cratère Dolomieu.

Quelques infos sur le Piton de la Fournaise

Le Piton de la Fournaise, culminant à 2 632 mètres d'altitude, est le volcan actif de l'île de La Réunion. Il correspond au sommet et au flanc oriental du massif du Piton de la Fournaise, un volcan bouclier qui constitue 40 % de l'île dans sa partie sud-est.

Le Piton de la Fournaise compte parmi les volcans les plus actifs de la planète : par la fréquence des nouvelles éruptions, il tient probablement le premier rang mondial ; par le volume moyen émis de lave, il est environ dix fois moins productif que le Kīlauea, mais comparable à l'Etna.

Depuis l'installation en 1979 de l'observatoire volcanologique, le piton de la Fournaise est l'un des volcans les plus surveillés. L'accès est relativement aisé, notamment par la route forestière du Volcan ou par la route des Laves, ce qui permet parfois au public d'assister au spectacle des projections et des coulées de lave.

Comme les volcans d'Hawaï, le Piton de la Fournaise est un volcan de point chaud. Il serait alimenté par un panache mantellique actif depuis plus de 65 millions d'années, qui au fil de la dérive des plaques tectoniques a d'abord créé les trapps du Deccan en Inde, puis les îles Laquedives, les Maldives, l'archipel des Chagos et enfin les Mascareignes.

Le Piton de la Fournaise est constitué d'un large dôme situé au milieu d'une grande zone d'affaissement appelée l'enclos.

L'enclos forme un grand « U », d'environ treize kilomètres de longueur sur neuf kilomètres de largeur, ouvert à l'est sur l'océan Indien. À terre, il est entièrement ceinturé de falaises, appelées remparts, qui le surplombent d'une hauteur de 100 à 400 mètres.

Le profil en long de l'enclos est celui d'un toboggan. La partie haute, dite « l'enclos Fouqué » (au sens strict), est une zone assez plate comprise entre 2 200 et 2 000 mètres d'altitude. La partie médiane, qui présente une très forte déclivité jusque vers 450 mètres au-dessus du niveau de la mer, porte bien son nom de Grandes Pentes. Quant à la partie basse, dénommée Grand Brûlé, elle s'étale plus doucement jusqu'au rivage.

Le cône du Piton de la Fournaise, d'un diamètre d'environ 3 km, surmonte l'enclos Fouqué jusqu'à l'altitude actuelle de 2 632 mètres. Le bord oriental du cône se situe à la limite des Grandes Pentes. La partie sommitale présente deux cratères :

• le cratère Bory, situé à l’ouest, est le plus petit avec 350 mètres de longueur et 200 mètres de largeur. Déjà présent au début de la colonisation de l’île, il est nommé lors même de l'expédition menée en 1801 par Jean-Baptiste Bory de Saint Vincent,naturaliste et géographe français qui fut le premier à décrire scientifiquement le Piton de la Fournaise et à réaliser la première carte des coulées de ce volcan en 1802 ;

• le cratère Dolomieu, situé à l’est, est le plus grand cratère avec 1 000 mètres de longueur et 700 mètres de largeur. Il ne serait apparu qu'en 1791 à la suite de l’effondrement d’une chambre magmatique sommitale. Il est ainsi nommé par Bory en hommage à Déodat Gratet de Dolomieu (1750-1801), géologue et minéralogiste français spécialiste du basalte. À la suite de la vidange de la chambre magmatique à la fin de l'éruption de début avril 2007, la quasi-totalité du fond du cratère s'est effondré le 7 avril pour atteindre une profondeur de 300 mètres par rapport aux bords du cratère.

Cratère Dolomieu

La partie active du piton de la Fournaise s'étend cependant au-delà des limites de l'enclos. En effet la zone préférentielle d'écartement (ou rift-zone) où se produisent les fractures éruptives, forme un croissant plus évasé que le « U » de l'enclos.

 

 

Autres cratères

 

Cette bande de fragilité qui passe par le sommet rejoint l'océan dans les régions de Saint-Philippe au sud et de Sainte-Rose au nord, où peuvent se produire occasionnellement des éruptions dites « hors-enclos ». (Source Wikipédia)

L'ascension du cratère Dolomieu est plutôt longue et difficile car ça monte pas mal et sous le soleil en plus. Et plus on monte et plus le soleil tape fort à cause de l'altitude ! Il faut donc prendre ses précautions en mettant de la crème solaire régulièrement, des lunettes de soleil, un chapeau ou une casquette et emporter un casse-croûte et suffisamment d'eau pour plusieurs heures de marche !!! Ce qui rend cette montée possible et supportable, c'est la diversité des paysages. En effet, on marche sur d'anciennes coulées de lave plus étonnantes les unes que les autres. 

 

 Coulée de lave en gratons  de 1957

 

 Coulées de lave récentes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il était 10h30 quand nous avons atteint le Cratère Dolomieu après 400m de montée intense !!!  Et il y avait déjà beaucoup de monde qui pique-niquaient là-haut !

Vidéo du cratère Dolomieu

Nous avons fait une pause pique-nique d'une bonne demi-heure puis nous sommes redescendus par le même chemin.

 

 

 

 

 

Le retour a été tout aussi intéressant car on ne voyait pas les mêmes choses. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et nous avons aussi assisté à un phénomène spectaculaire en redescendant. Nous avons vu dans le ciel un halo solaire.

 

Pour qu'un tel anneau soit visible, il faut que les rayons du soleil traversent des cristaux de glace à travers l'atmosphère et arrivent jusqu'à nos yeux. En effet, ces derniers sont souvent composés de cristaux de glace du fait de l'altitude à laquelle ils se forment. Ces cristaux jouent le rôle de prismes, et lorsque les rayons du soleil les traversent, ils subissent des réfractions qui provoquent ce phénomène optique.

Puis un peu avant d'atteindre le Formica Léo, la brume est montée des remparts et il se mit à pleuvoir. 

 

 

 

 

 

  

Et c'est sous la pluie que nous avons remonté les 524 marches (enfin 527 car Ludo les a comptées !!!) pour rejoindre le Pas de Bellecombe. Et là je vous avoue qu'après quasiment 6h de marche ce sont les dernières marches qui furent les plus dures !!!

Cette randonnée au Piton de la Fournaise est vraiment à faire car les paysages sont uniques. Et c'est fantastique de pouvoir marcher sur un volcan actif. Au moment où nous avons fait cette rando, une autre éruption se préparait à court ou moyen terme...

Le 13/01/20.

Après 18 jours d'un temps plus que capricieux au Tampon, Ludo et moi avons enfin eu une fenêtre pour aller randonner au Piton de la Fournaise. Nous nous sommes levés à 4h45 et avions prévu de partir à 5h30 car il faut savoir que le site est très visité et qu'il y a souvent du monde sur le parking du Pas de Bellecombe, lieu du départ de la randonnée au volcan. Mais le temps de déjeuner, de préparer le pique-nique, de nourrir les animaux, nous sommes partis au final en retard. En effet il était 6h quand nous avons quitté la maison. Et plus on est tôt là-bas mieux c'est !!! Il faut 1h15 pour nous rendre au Pas de Bellecombe et le pire c'est de rouler en 1ère pendant bien 4,5km sur la route complètement défoncée qui traverse la Plaine des Sables.

Vidéo de la Plaine de Sables 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo route de la Plaine des Sables

Nous sommes arrivés au parking du Pas de Bellecombe (rebaptisé Bellecombe-Jacob récemment) vers les 7h et avons commencé notre rando 15mn plus tard. Il y avait déjà pas mal de monde au départ sur le parking mais il restait encore quelques places.

Puis nous avons descendu les toutes premières marches... (Et elles ne seraient pas les dernières !!!) ...

... pour arriver à d'autres escaliers bien plus raides qui permettent d'accéder à l'Enclos Fouqué et au Piton de la Fournaise. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une partie des 524 marches !!!

L'Enclos Fouqué est la plus récente des caldeiras formée par le Piton de la Fournaise. Baptisée en l'honneur du géologue français Ferdinand André Fouqué, cette caldeira en forme de fer à cheval fait neuf kilomètres de large sur treize kilomètres de long. Les parois qui la surplombent sont hautes de cent à quatre cents mètres. Il s'agit du rempart de Bois Blanc au nord, du rempart de Bellecombe à l'ouest et du rempart du Tremblet au sud.

 

 

 

Le rempart de Bellecombe

 

 

Outre le Piton de la Fournaise à proprement parler, l'Enclos Fouqué abrite de nombreux petits cratères, parmi lesquels le Formica Leo.

 

Le Formica Leo et le Piton (photo Ludo)

Il s'agit de la formation la plus visible du Pas de Bellecombe, qui doit son nom à la fourmi lion qui construit des monticules de même apparence. C'est un surplomb à partir duquel on peut entamer une randonnée jusqu'à un site appelé Plaine des Osmondes.

De là, il est possible d'atteindre l'océan Indien par les Grandes Pentes puis le Grand Brûlé, la zone littorale. Celle-ci est traversée par la route nationale 2 qui fait le tour de l'île en joignant Saint-Denis et Saint-Pierre. Au nord, elle donne accès à l'Enclos depuis le centre-ville de Sainte-Rose par la forêt de Bois Blanc. Au sud, elle mène à Saint-Phillipe via le lieu-dit Takamaka.(Source wikipédia)

Arrivés dans l'Enclos Fouqué (après avoir descendu nos 524 marches), nous sommes montés sur le Formica Leo qui est formé de scories de couleur noire et rouge.

 

 

 

 

 

 

Depuis la crête du Formica Léo, on a une très belle vue sur le rempart de Bellecombe, la Plaine des Osmondes et le Piton de la Fournaise.

 

 

 

 

 

Puis nous nous sommes dirigés vers le Piton de La Fournaise.

 

 

 

 

 

A suivre l'ascension du Piton de la fournaise...

 

Séjour chez Anne-Françoise du 27/12/19 au 17/01/20.

J'ai quitté la maison de Claire ce 27/12 après presque 3 mois en colocation. Une fois la voiture de location récupérée à Saint-Pierre, je suis remontée chez Claire pour prendre toutes mes affaires. Et il y en avait du bazar ! C'est fou les choses que j'ai pu accumulées en 5 mois de présence sur l'île !!! Heureusement que je ne devais pas aller au Tampon à pieds. Nous nous sommes dit au revoir Claire et moi et à très bientôt. 

L'arrivée chez Anne-Françoise au Tampon se passa bien. Ses chiens Sam et Smartie m'ont reconnue et bien accueillie en me faisant la fête. Même Gégé la tortue est venue me faire coucou.

Très rapidement, j'ai pris mes marques. Temps de repos dans le hamac sous la varangue...

... petit tour dans le magnifique jardin tropical d'Anne-Françoise. Et je ne me lasse pas de regarder et de photographier toutes ces belles fleurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

Et j'ai bien fait d'en profiter car depuis adieu le soleil et bonjour la pluie. Bien sûr je sais qu'on est en été et que c'est la saison des pluies mais il n'a pas cessé de pleuvoir depuis le lendemain de mon arrivée. En plus une tempête tropicale appelée Calvinia est passée à proximité de La Réunion et a eu pour conséquence de pluies encore plus fortes... 

Quel temps !!!

Oui les journées furent longues ici toute seule avec ce temps pourri. Par chance il y eut de petites accalmies pendant lesquelles j'ai pu sortir pour faire quelques courses et voir un peu la ville. Et notamment dans la rue principale, j'ai découvert l'église Saint-François de Sales construite de 1910 à 1913.

 

Et un peu plus loin je suis tombée sur un gouzou : le gouzou baignoire.

Puis en remontant la rue je me suis arrêtée sur la place de l'hôtel de ville qui était décorée de deux magnifiques sapins à l'occasion des fêtes de fin d'année .

 

Il y avait aussi 2 monuments aux morts assez particuliers. Le premier concernait exclusivement les morts de la guerre d'Indochine (1945-1954).

Le mur du souvenir

Le second juste à sa droite répertoriait les morts de la Grande Guerre (1914-18),  puis celles de la 2nde Guerre mondiale (1939-45), de la Guerre de Corée (1950-53), de la Guerre d'Algérie (1954-62), celle du Tchad en 1978 et celle de l’Afghanistan en 2008.

 

On est habitué à rencontrer dans chaque ville un monument aux morts représentant un soldat le plus souvent armé. Celui du Tampon peut, de loin, faire penser à une sculpture de parc ou de jardin. En s'approchant pour détailler l’œuvre d'Albert Leclerc (1906-1974) on comprend mieux la signification de ce corps mourant couché au-dessus des plaques commémoratives comportant les noms des morts pour le pays durant plusieurs guerres. Le corps semble flotter, soutenu par un mât à un mètre du sol. 

En rentrant à pieds chez Anne-Françoise, je passais devant un autre gouzou (le gouzou oreilles) malheureusement dégradé.

Puis je décidais de continuer par un quartier populaire et tombais là aussi sur de très belles fresques murales.

 

 

 

 

Fresque de Méo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et 4 gouzous de Jace.

 

Et pour terminer je passais devant La chapelle Bienheureux Frère Scubilion.

Malheureusement il n'y a pas grand chose d'autre à voir au Tampon. Toutefois les alentours sont plus intéressants (sans compter bien sûr l'accès au volcan !).

En effet le 02/01, après avoir essuyé un reste de la tempête tropicale Calvinia, Ludo et moi avons profité d'une autre accalmie pour aller visiter le Parc des Palmiers à Trois Mares.

 

Quelques infos sur le parc:

Le parc des Palmiers est un jardin botanique qui se situe au chemin Dassy en passant par le quartier de Trois Mares de la ville du Tampon, sa superficie est de 20 hectares. C’est un projet datant de 1998, il est ouvert au public depuis janvier 2010. Son accès est gratuit et comme son nom l’indique il est essentiellement dédié aux palmiers.

 

 

 

 

 

 

 

Normalement par beau temps on peut profiter de la vue qui s’offre à nous sur Saint-Pierre, Saint-Louis et l’Entre-Deux.

 

 

 

 

 

 

 

Mais comme le temps était maussade on n'y voyait pas très loin et la mer était grise. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et un petit tree-hugging avant de partir.

 

A terme le parc des Palmiers comptera environ 1000 espèces différentes de palmiers, sur les 2800 existantes dans le monde et 40 000 palmiers sur les 20 hectares. Ainsi ce jardin botanique aura une collection unique de palmiers.

Il accueillera des aires de pique-nique, des restaurants, un espace exposition-conférence et une pépinière où les visiteurs pourront acheter des palmiers.

Une unité de multiplication de palmiers, proche du parc, est opérationnelle depuis le début de l'année 2000. Cette pépinière est, aujourd’hui, riche de plus de 30 000 plants.

En tout cas c'est un bel endroit qui est calme et reposant où les gens viennent faire du sport et se promener... 

Le 06/01, il fit beau le matin. Aussi nous avons pu sortir et sommes allés nous promener dans le centre. Nous sommes passés par le marché couvert qui est ouvert tous les jours et où l'on trouve surtout des fruits et légumes / un peu de viande et quasiment pas d’artisanat alors que celui de Saint-Pierre c'est tout le contraire.

 

 

 

 

 

 

Par contre les prix pratiqués sont bien plus chers que ceux du marché forain du samedi matin.

 

 

 

 

 

Lorsque je suis venue sur l'île de La Réunion, je savais que je partais pour 6 mois / un an et que par conséquent, je ne serais pas parmi les miens pour fêter Noël. Je ne pensais pas alors que ce serait si difficile pour moi. En effet, dans ma famille, c'est une tradition de célébrer ce jour-là "en famille" justement. Et je dois dire que je peux compter sur les doigts d'une seule main les années où je n'ai pas fêté Noël avec ma famille !!! On a tout de même skypé pour l'ouverture des cadeaux. ça me faisait trop bizarre de les voir s'affairer devant le sapin et d'être seulement spectatrice. 

Le réveillon du 24 décembre 2019

Cette année, j'ai passé mon premier réveillon de Noël seule (de mémoire). Claire était allée expérimenter un repas de réveillon "végan" chez des amis. Mais je ne me suis laissée abattre et me suis fait mon petit repas de réveillon.

Au menu de ce soir :

- saumon fumé,

- merguez de poulet,

- pommes de terre sautées, 

- salade verte parsemée de saumon fumé,

- fromage

- dessert glacé aux trois chocolats. 

 

Hummmm !!!

 

 

 

 

Hummmm !!!

 

 

 

C'était bien bon !!!

Comme c'était la veille de Noël, j'ai voulu veiller un peu car d'habitude ici je me couche entre 21h30 et 22h et me lève donc bien plus tôt que lorsque je vivais à Romans soit entre 6h et 7h30 au plus tard. Donc j'ai veillé jusqu'à 23h mais c'est que les voisins étaient tellement bruyants que ce n'était pas possible de dormir. 

Oui je ne vous ai pas dit mais ici à la Réunion les gens font la grosse fête avec musique à tue-tête une bonne partie de la nuit et font péter pétards et des feux d'artifice... La totale quoi !!!

Même avec des boules en mousse dans les oreilles j'entendais une méga cacophonie car chaque voisin écoutait sa musique. Mouais c'était pas top !!!

Vers 4h du mat, j'ai plus rien entendu. Enfin un peu de repos !

Le 25 décembre 2019

La nuit fut courte, j'ai émergé après 7h30. Aujourd'hui j'allais passer Noël avec Claire et Angélique (déjà rencontrée à la Fête du Choca à Entre-Deux, vous vous souvenez ?). Angélique garde une maison à Etang-Salé Les Hauts avec 4 chiens et 3 chats. 

Nous sommes arrivées à Etang-Salé Les Hauts vers les 11h30 et nous avons été accueillies par Angélique et toute la ménagerie.

La maison est une case créole typique.

 

 

 

 

 

 

Le jardin est très grand et magnifique...

 

 

 

 

 

 

... et la piscine sympathique !!!

 

 

 

 

 

Angélique nous  avait préparé une très jolie table.

Claire et Angélique

 

 

 

 

 

 

Claire jouant la femme mystère

 

 

 

Après un apéro au champagne et litchi, nous avons commencé notre repas de Noël composé d'une assiette gourmande (fois gras sur toasts briochés avec de la confiture de figues, du magret de canard fumé, des œufs de lymphes sur des endives accompagnés de petites tomates)...

... puis nous avons continué avec des cuisses de canards confites accompagnées d'un gratin dauphinois...

 

Ensuite on a fait une petite pause car on n'en pouvait plus et il faisait très très chaud.

 

 

 Pause balançoire et...

 

 

 

... hamac pour Claire

 

 

 

 

 

Pause balancelle pour moi et ...

 

 

 ... baignade pour moi et ... tout le monde

 

 

 

 

Si c'est pas cool de se baigner un 25 décembre !!! Elle est pas belle la vie !

Après cette grande pause baignade, nous avons poursuivi notre repas avec du fromage et de la salade, et enfin un dessert glacé.

 

Hummm !

 

Bûche à la  framboise et chocolat blanc

 

 

Le repas était excellent tout comme la compagnie.

J'ai passé une très très très bonne journée. Même si j'étais loin des miens, c'était très sympa cette journée.