Le Billabong du 20 au 21 octobre 2011

Une visite «éclair» : une seule nuit au lieu de 5 prévues.

Note : 4/10

Je suis partie du Hay Street Backpacker vers les 9h et j’intégrais le Billabong 30mn plus tard.  Malheureusement, je ne m’y suis pas sentie bien dès le départ. Je me suis retrouvée au 2^ème étage, génial avec la valise de 25kg et puis la chambre était sale, vraiment.

Mon lit en haut

C’était un dortoir à 4 lits. Une autre française était là et qui n’avait pas envie de causer à une autre française, cool !!! Elle travaillait à Sydney et était ici en congé. Elle avait décidé elle aussi de quitter plus tôt ce backpacker parce qu’apparemment les nuits étaient bruyantes ici. Il n’y avait pas de bar pourtant mais les gens amenaient leurs bouteilles d’alcool… Pas cool. Effectivement, lorsque je rentrais de la bibliothèque vers les 17h, il y avait de la musique au bord de la piscine et la fête avait déjà commencé. Dieu seul savait quand elle allait se terminer. Mais pourquoi systématiquement, je me retrouve dans des chambres qui donnent soit sur la piscine, soit sur le bar voire les 2 !!! Cette fois-ci, je donnais aussi sur le BBQ. Donc en plus de la musique, du bruit des gens qui s’amusaient, j’avais les odeurs de leurs cigarettes et de leur bouffe qui brûlait. Limite gerbant tout ça ! Le bordel a duré jusqu’à 23h mais j’ai mis les boules Quiès alors finalement c’était supportable.

Je réussis tout de même à m’endormir mais j’ai été réveillée une première fois par la française qui est rentrée tard puis une deuxième fois par 2 autres filles qui ont débarquée à 1h30 du mat. Bref, la vie normale dans un backpacker, quoi !!! Ce qui m’a décidé d’abréger mon séjour ici fut lorsque j’ai constaté que je ne pouvais brancher aucun de mes appareils que ce soit le séchoir ou le chargeur pour l’ordi. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Le lendemain, je téléphonais au Hay pour qu’ils me reprennent. Heureusement, il y avait encore de la place. Après le petit déj qui était gratuit je quittais le Billabong sans me retourner.

Retour au Hay Street Backpacker et jusqu'au 25 octobre.

Retour « à la maison » si je puis dire. Finalement, j’y suis pas mal ici et internet est gratuit même si ça rame pas mal. J’ai retrouvé «ma chambre» mais mon lit était occupé par une sud-coréenne, prénommée Lucy. Il y avait encore la dame du « bush » Anne. Elle travaille dans les communautés aborigènes comme infirmière libérale. Elle est souvent en déplacement passant d’une communauté à l’autre. Elle va souvent dans des endroits très reculés et accompagne parfois les flying doctors (les médecins volants). Un métier difficile m’a-t-elle dit tant physiquement que psychologiquement. Et puis elle n’est plus toute jeune maintenant.

Dans la nuit du 22 au 23 ont débarqué 2 filles à 1h30 du matin. L’une s’est installée juste au-dessus de mon lit. Je réussis à me rendormir. Le lendemain, elles se sont levées tôt. Dans la journée je les croisais, 2 chinoises d’une trentaine d’années. Même pas bonjour. Génial quand ça commence comme ça !!!

Le 25 au matin, je rassemblais mes affaires. J’ai laissé ma chambre à 9h et je me suis installée dans la cuisine pour tenter d’avoir une connexion internet. Manque de bol ! Internet fonctionnait mal. J’avais 4h à tuer avant que la navette de l’aéroport vienne me chercher et internet ne marchait pas très bien !!!! Je voulais justement terminer de télécharger mes photos sur le net… C’est raté encore une fois !

Départ du Hay Street Backpackers à 14h10.

L’Adelaide Central Backpackers du 25 au 30 octobre 2011.

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